Dans les communes voisines

CORCOUÉ SUR LOGNE

La commune de Corcoué-sur-Logne a été créée en 1971, de la fusion des communes de Saint-Étienne de Corcoué  et de Saint-Jean de Corcoué, cette dernière ayant absorbée La Benate en 1830. 

Corcoué-sur-Logne compte donc deux monuments aux morts. Voici d'abord celui de Saint-Étienne :





 

Ce monument a été sculpté par T. Réthière en 1921.

Singularité de ce monument : il est placé sous le signe de la paix, "PAX".

Voici maintenant le monument érigé à Saint-Jean de Corcoué dédié aux habitants de cette paroisse et de ceux de la voisine, la Benate.

GENESTON

La commune de Geneston n'existe que depuis le 1er janvier 1955. Mais Geneston possédait déjà un monument consacré aux morts de la Première Guerre Mondiale.

 

LA PLANCHE

Le site Internet de la commune célèbre le centenaire de la Guerre 1914-1918 en publiant la notice des soldats planchots morts, certains sont originaires de Saint-Philbert-de-Bouaine : En savoir plus... 

Le monument de la commune de La Planche  dissimule à son dos une prière à Marie.

LEGÉ

Le souvenir de chaque Mort pour la France de la commune de Legé est conservé à l'intérieur de la chapelle placée derrière le monument. 


La plaque dans l'église

Un Hôpital Militaire Complémentaire à LEGÉ :

L’Hôpital Annexe était situé à l’ Ecole communale de garçons. Il comprenait 43 lits. Il a fonctionné à partir du 24 août 1914.

La formation sanitaire de BEAUVAIS (H.C.N°1) qui, devant l’avance ennemie avait dû se replier vers l’intérieur, prit la direction de l’hôpital de LEGÉ le 11/9/1914.

Les premiers blessés arrivèrent fin septembre 1914, puis fin Octobre 1914. La 11e section d’Infirmiers Militaires prit l’hôpital en main, l’hôpital s’appelle alors H.C.N°1bis, puis sera régularisé en H.C.N°58. L’hôpital est classé hôpital sanitaire pour tuberculeux, le 18/3/1916.

L’Hôpital Complémentaire n° 58  Legé , situé Dames de la Visitation, rue de la Chaussée comptait 120 lits. Il a fonctionné du 11 septembre 1914 au 10 juin 1919.

Le Carré Militaire de Legé compte 47 sépultures des combattants décédés à l'hôpital militaire. Liste...


MONTAIGU


MONTBERT


Montbert possède deux singularités :

¤ les vitraux de l'église tracent les différentes batailles de la guerre et représentent en photo la plupart des combattants morts,

¤ l'association rassemblant les poilus survivants avait une référence religieuse : Union Catholique des Soldats de la Grande Guerre - Montbert.

Deux soldats ayant résidé en cette commune, morts pendant la Guerre, sont nés à Saint-Philbert-de-Bouaine.

MORMAISON

Le courrier d'Aristide Dugast - classe 1896

ROCHESERVIERE



 

SAINT ANDRÉ TREIZE VOIES

Le monument de Saint-André Treize Voies se situe maintenant à l'emplacement de l'ancien cimetière  et occupe un large espace. Il comprend une croix centrale datée de 1845 et deux niches qui abritent les plaques listant les Morts pour la France.

SAINT-COLOMBAN

Un soldat né à Saint Philbert de Bouaine, cité dans notre commune, était résidant à St-Colombin au moment de la mobilisation. Son nom est gravé sur le monument de cette commune.

ST PHILBERT DE GRAND-LIEU

Saint-Philbert-de-Grand-Lieu a compté un hôpital bénévole qui a accueilli des combattants blessés, le HB n° 8 bis  Saint-Philbert-de-Grandlieu - Couvent des Sœurs de Saint-Philbert - 21 lits - Fonctionne du 25 août 1914 au 23 juin 1916.

VIEILLEVIGNE

Le mémorial d'Auray

Après la Première Guerre Mondiale, les diocèses de Vannes, Quimper, Saint-Brieuc, Rennes et Nantes élevèrent un mémorial en souvenir de leurs paroissiens morts dans ce conflit. Il fut construit dans l'enceinte du sanctuaire de Sainte-Anne d'Auray, au fond d'une large esplanade bordée de murs sur lesquels sont fixées des plaques rappelant les 240000 soldats disparus. Ceux-ci sont classés par diocèse, puis par doyenné et enfin par paroisse. Seuls quelques noms y figurent, les familles ayant contribué financièrement à ce mémorial.